Rencontres et Colloques des Délégués du RESCIF du 17 au 18 avril 2024 à l’ENSPY

  1. Contexte et justification

  • Ecole Mohammadia d’ingénieurs de Rabat (EMI)
  • Ecole Nationale Supérieure Polytechnique de Yaoundé (ENSPY-Yaoundé)
  • Ecole Normale Supérieure de Lyon (ENS-Lyon)
  • Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne (EPFL)
  • Ecole Polytechnique de Paris (EP Paris)
  • Ecole Supérieure Polytechnique de Dakar (ESP-UCAD)
  • Institut polytechnique de Grenoble (Grenoble INP – UGA)
  • Institut International d’ingénierie de l’Eau et de l’Environnement à Ouagadougou (2iE)
  • Institut National Polytechnique Félix Houphouët Boigny à Yamoussoukro (INP-HB)
  • Institut Polytechnique d’Ho-Chi-Minh-Ville (IP-HCMV)
  • Polytechnique Montréal (EP Montréal)
  • Université Catholique de Louvain (UCLouvain)
  • Université d’Etat d’Haïti à Port au Prince (UEH)
  • Université Quisqueya à Port au Prince (UNIQ)
  • Université St-Joseph de Beyrouth (USJ)
  • Université Mohammed VI Polytechnique de Ben Guérir (UM6P)
  • École Nationale d’Ingénieurs de Tunis (ENIT)

2. Objectif général
Créer la synergie et officialiser la plateforme de travail entre les différentes parties prenantes du réseau tout en informant le grand public de l’action menée.

3. Objectifs spécifiques
Le RESCIF réunit des établissements universitaires de technologie francophones. Il a pour but de :
a) Mettre en oeuvre de la recherche scientifique utile au développement des pays dits « émergents », notamment dans les domaines de l’eau, de l’énergie, de la santé, de la nutrition, de l’urbain, de l’entrepreneuriat, du « big data » et de l’éducation digitale ;
b) Soutenir des projets dans les domaines précités ;
c) Mettre en oeuvre une coopération novatrice, ciblée et durable entre des établissements universitaires de technologie francophones du monde entier ;
d) Encourager la formation aux technologies de pointe des jeunes scientifiques francophones de tous horizons ;
e) Renforcer l’influence des établissements universitaires de technologie francophones sur la place scientifique mondiale et accroître leur collaboration avec les établissements anglophones.